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Commentaire de: Guy [Visiteur]
Guy

Une chose est sûre, c’est que lorsque l’on prend conscience de soi, les choses, le paraître, le besoin de se mélanger à tout prix, jusqu’à satisfaire l’égo des autres pour satisfaire le sien, tout ceci à moins d’importance en soi. Je ne pense pas qu’il y ait véritablement une hiérarchie des besoins, mise à part les besoins primaires, vu que tous les besoins sont mélangés, subissent des préférences ou des priorités, des retours en arrière, surgissent et s’atténuent tour à tour, et varient en intensité selon les personnes et leur humeur du moment.. à moins que ce ne soient plus des besoins mais des envies qui elles, sont libérées de la contrainte de l’égo, ce dernier qui exige des besoins et emprisonnent l’Etre.

En résumé, on n’annihile pas l’égo; certes, il s’atténue au fur et à mesure que l’on en prend conscience et de ce fait, nous gâche de moins en moins l’existence jusqu’à que l’on ne se sente plus le centre de l’Univers et que l’on se mette à considérer que le reste existe, dans l’écoute, la considération, la joie et l’abondance: le Tout Puissant; quelle que soit le nom ou l’apparence que l’on veut bien Lui attribuer.

19.09.11 @ 11:56 Répondre à ce commentaire
Commentaire de: Laurent [Visiteur]
Laurent

pour ma part, je n’ai pas grand chose à dire sinon que les besoins ne sont pas à lier avec l’ego.
Ok, l’EGO est chez l’Homme quelque chose d’extrêmement important mais en aucun cas (selon moi) il n’est à lier avec les besoins sinon avec l’étage correspondant à la reconnaissance.

Cette pyramide est plus que réaliste. Exemple simple : quelqu’un qui a une forte envie d’uriner(besoin primaire par excellence) va se moquer royalement de considérations telle que sa sécurité. Il arrive un certain point où même lors d’une situation exceptionnelle, rien d’autre n’importe que d’aller faire pipi.

Pour terminer, j’ai une très grosse remarque à faire quant au bonheur : le bonheur peut être à n’importe quel niveau. Tout dépend de l’individu, de son expérience de vie etc… Quelqu’un peut se satisfaire et être heureux simplement au troisième niveau. Il se peut que sa vie de famille, ses amis etc lui suffisent amplement et que la soif de reconnaissance soit dénuée de sens pour cet individu

08.12.11 @ 12:01 Répondre à ce commentaire
Commentaire de: Jeannette [Visiteur]
Jeannette

Donc, si cette pyramide est réelle, ce qui est exact sur certains points, en fait, prenons un exemple tout bête:
l’exemple d’un cancéreux en stade terminal. Il sait qu’il est condamné, qu’il va crever, il n’est donc pas en sécurité sur le plan de la santé, on est bien d’accord? Ben pourtant, il va pas s’arrêter d’aimer sa famille, ses amis! Il y a vraiment certains points sur lesquels Maslow s’est complètement planté.

01.06.13 @ 20:02 Répondre à ce commentaire
Commentaire de: [Membre]

A mon avis, dans le cas d’un cancéreux, sa priorité aura bien été, à un moment de sa maladie, d’essayer de guérir à tout prix. Ce n’est qu’après avoir essayé de traiter le problème de toutes les manières possibles que le cancéreux va accepter de mourir.

Par exemple, a un moment il aura été prêt à renoncer à son confort (argent) en échange de guérir de sa maladie.

Mais ça ne l’empêche pas de se préoccuper également d’autres besoins plus élevés, surtout quand l’un n’empêche pas l’autre. Aimer sa famille et ses amis n’empêche pas de guérir.

Maintenant, si on veut supposer, de manière très théorique que d’aimer quelqu’un va vous causer une mort certaine (et à court terme)… choisiriez vous de vivre ou d’aimer? Statistiquement, la plupart des gens choisiraient de vivre ;)

01.06.13 @ 20:57 Répondre à ce commentaire
Commentaire de: Louis [Visiteur]
Louis

J’apprécie tout-à-fait les sous-titre que vous avez mis à chaque étage de la pyramide. Ex : Sécurité = survie, confort, tranquillité.
Ces sous-titres me semblent avoir à la fois les qualités de concision et les qualités de (presque) exhaustivité.
:-)


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