Alors que je postais récemment à propos du PEL dans un contexte de préoccupations financières sur lesquelles je reviendrai peut être ultérieurement, je trouve marrant de constater que Russel Beattie lui aussi se retouve aujourd’hui dans des considérations plus capitalistiques que technologiques.
En fait, j’ai de plus en plus l’impression que nous – ex acteurs de l’ex nouvelle économie – nous retrouvons face à cette constation: la seule manière de maintenir nos trains de vie démeusurés (:> mais non pas tant que ça, je plaisante!) est aujourd’hui d’apprendre à exploiter le système réel qui reprend ses droits sur l’illusion d’une net expansion sans fin.
Ce système réel, c’est le capitalisme dans toute sa splendeur, dans toute sa démence, dans toute sa décadence… |-|